Trous et "Théologie Laïque"

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Bizarre ?

Oui, effectivement, la théologie laïque n'existe pas puisque cette définition d'une science des textes est basée justement sur des textes ou des préceptes.

En politique comme en religion une ligne de conduite est induise à une masse de gens sur l'apprentissage de textes et la croyance sans faille de ces textes.

Cette théologie visant à embrigader un peuple ou une corporation dans une forme d'obscurantisme, faisant abstraction de toutes autres formes de connaissances ou de croyances, rejoint ce qu'applique aujourd'hui la plupart des religions en excluant les sectes qui n'ont qu'un unique but lucratif.

Une religion est la base de la civilisation à laquelle elle appartient ou plutôt le pivot d'une forme de société s'appuyant sur des textes religieux.

De là on peut en déduire que toutes les sociétés organisées et structurées sont politiquement liées à une théologie religieuse de base.

La République s'est servi des textes monarchiques, arrangés et structurés, ces mêmes textes étant hérité d'un lointain passé qui puise ses sources dans la religion catholique, concernant les pays latins, mais ayant pour base les multiples religions polythéistes des Romains de - 472 à 458 auxquelles se sont jointes les croyances grecques et la dominante religion catholique référante à Constantin 1er qui a officialisé la chrétienté en 312 en en faisant une base des Lois de gouvernement.

Vouloir inculquer une théologie religieuse à une culture différente est donc assimilé à une apologie totalitaire dans l'unique but d'influer sur des peuples et des communautés à intégrer dans un système qui ne leur sied pas.

Vouloir intégrer des cultures différentes dans un contexte multimillénaire basé sur une théologie religieuse unique est la certitude de l'échec annoncé, donc la destruction des bases de ces sociétés ne trouvant plus les repères d'origine.

Ne cherchez pas l'auteur de ces lignes, elles ne sont que de moi sur la déduction de mes observations de la personne humaine et sur mes "maigres" connaissances historiques.
DSCN0003Commençons par les trous.

Ce n'est pas vraiment un trou, ce serait une dépression, pas atmosphérique, "géologique" si on considère le contexte du lieu.

DSCN9642.JPGC'est ici, porte Dauphine.

D'aucun diront ça devient rengaine, il nous montre toujours la même chose.

Pallier des problèmes au présent ne coute pratiquement rien, voir quelques pages antérieures traitant du même sujet

Oui, c'est vrai je montre les mêmes misères mais à des dates très espacées et c'est bien ce qui n'est pas normal.

N'importe quel responsable de quels que services que ce soit dans une ville dite "gérée" correctement, se serait inquiété de constater ces navrantes spécificités ne donnant de la ville qu'une image dégradée.

Qui plus est les touristes et résidents secondaires doivent se poser beaucoup de questions concernant l'aptitude de la municipalité à gérer cette petite ville, laisser des années durant une telle merde à découvrir ou redécouvrir avant toutes images valorisantes dénote de la part des responsables une incompétence flagrante ou un unique besoin de récolter des subsides en ne "vendant" que de la merde.

Dire que c'est une spécificité socialiste serait mensonge puisqu'une bonne partie de cette merde fait partie d'un héritage que se transmettent les municipalités successives, de droite comme de gauche.

Comme déjà écrit, vouloir du neuf et du beau au milieu de la fange n'est que le reflet de vouloir laisser pour la postérité une image loin d'être celle qui restera réellement.

DSCN9639Même endroit.

Pour mes fidèles lecteurs, ils pourront remarquer que ce petit problème, parmi une multitudes d'autres, dure, dure, dure et persiste.

Bien entendu j'en parle beaucoup avec des gens de ma connaissance et surtout avec ceux qui viennent de temps en temps, qui suivent mon blog assidûment et qui sont écoeurés de payer des impôts "excessifs" pour un résultat négatif.

Pour être cru et franc, on me dit souvent "quelles sont donc ces "têtes de con" incapables de mener à bien une politique municipales de suivi de l'entretient minimum demandé" ?

Je vous le sert comme je l'entend, je n'irais pas jusqu'à écrire que les membres de la municipalité sont des abrutis mais je laisse libre cours aux interlocuteurs de penser et dire (Tout bas hélas) ce que je mets régulièrement sur mes pages mais avec des termes relativement mesurés.

DSCN0004Depuis des années....

....Ils sont identiques et immuablement intégrés dans le paysage touristique briançonnais.

DSCN0005Vous vous rappelez ?

Ces trous peints pour délimiter un passage pour piétons !

Si les trous persistent et survivent la peinture délimitant le passage piéton ne reste qu'un vague souvenir, comme je l'avais déjà précisé cet élément coûte cher à la municipalité qui préfère investir dans du culturel douteux que dans les urgences tant attendues des habitants de la ville toute entière.

Aller regarder quelques "gugusses" au talent discutable, qui coûtent à la municipalité des sommes que ne justifient pas toujours leurs prestations "douteuses", pour ensuite faire fonctionner les urgences de l'hôpital après s'être tordu la cheville dans les carences municipales semble suivre une politique culturelle surréaliste. (Attention, je ne dit pas que la culture est néfaste, il y a culture et culture)

DSCN0006J'envisage de nationaliser ces trous.

Depuis des années que je les mets en "boite", j'en possède une collection impressionnante.

Je suis persuadé que je pourrais même en faire commerce sauf que je ne tirerais pas valeur morale de commercialiser de telles minable trophées.

DSCN0007Ce ne sont pas des trous.

Du moins dans le sens qu'on donne aux trous.

C'est la caractéristique d'une gestion municipale et patrimoniale de négligences volontaires.

Il n'est plus, là, question d'économie, de faire intervenir un maçon des services techniques ne demanderait pas un effort surhumain.

C'est vraiment une presque volonté d'augmenter les dégradations pour, peut-être, justifier des demandes de subventions dont une partie servira à autre chose, je vous laisse le choix de déduire ce qui pourrait justifier un détournement de finances publiques éventuelles. (Rumeurs qui courent et deviennent persistantes)

DSCN0008Certaines dégradations....

Résultent du déneigement.

Un engin de déneigement doit être efficace, c'est à dire dégager le plus rapidement possible une couche de 70 ou 80 cm tombée en 10 heures, plus rien n'étant visible c'est un peu travailler dans l'inconnu.

Qu'il en résulte quelques dégât est incontournable on ne va pas déneiger avec une petite cuillère, ce n'est pas de l'archéologie ?

Cependant, ces dégradations annuelles qui s'accumulent sans que soient palliés ces problèmes amènent rapidement une accumulation de dégâts qui se chiffrent rapidement en millier d'Euros, voire en dizaines de milliers d'Euros.

Conclusion on en arrive à se demander si ce n'est pas volontairement délaissé pour obtenir une "grasse" enveloppe.

DSCN0009Baignoire à oiseaux.

Au moins ça sert à quelque chose.

Et puis l'avantage à Briançon c'est qu'il y a une telle quantité de trous, en tous points de la ville, qu'on peut faire autant de clichés qu'on veut sans avoir à photographier deux fois le même.

Il n'y a que le trou financier qu'on ne peut photographier deux fois cependant, ce dernier étant abstrait, même douloureux il n'est pas possible de le quantifier, surtout quand il est élastique suivant ce qu'on veut bien nous faire avaler.

DSCN0010Ce n'est pas vraiment un trou.

Ce serait plutôt un affaissement dû au manque d'entretien de la voirie.

C'est avenue Vauban, tristement célèbre pour son état de délabrement (Pas Vauban, l'avenue)

Là aussi j'avais suggéré une solution totalement gratuite permettant de redonner à cette avenue un aspect plus conforme.

Le profane que je suis n'a pas droit au chapitre, je garde donc mes suggestions pour moi en attendant que la municipalité change de camp et en tablant sur une gestion plus compréhensive, dans le cas contraire je saurais quoi faire.

DSCN0011Image patrimoniale.

Sauf erreur ou changement récent de propriétaire, l'immeuble jouxtant la Collégiale est la propriété de l'OPAC 05.

L'autre, plus pourri encore (Toitures), appartient à un particulier, il est à vendre (L'immeuble, pas le particulier) mais son état ne justifie peut-être pas le prix qui en serait proposé, il est connu que des propriétaires vendent un bien en se basant plus sur l'aspect historique et classé du lieu d'implantation que sur la prestation du bien à vendre.

J'ai connu ça à "Le Bez", hameau de Villeneuve-la-Salle, un bien estimé 180 000 Euros que les propriétaires voulaient vendre 380 000 Euros. Résultat acheté 130 000 Euros les acquéreurs ont dépensé 260 000 Euros de réfection, toiture incluse.

Bref d'habiter en vieille ville de Briançon n'est pas forcément gage de bonne santé financière.

Il est assez étonnant qu'un lieu classé monument historique, classé UNESCO, reste dans un tel état sans que personne ne soit en mesure d'y apporter remède.

Je voyage pas mal, je suis donc touriste partout où je vais et je suis très observateur des lieux que je visite.

Dans une prochaine page je ferais un petit exposé sur la ville de Pau, pas forcément valorisante d'ailleurs alors que d'autres, visitées dans le même contexte, sont à la hauteur de ce que pensent trouver les visiteurs.

Mme le maire de cette dernière est aussi associée au parti socialiste, est-ce une coïncidence ?

DSCN0012Avenue Vauban.

Derrière le Choeur de la Collégiale.

Cette échauguette pissotière publique nocturne a rempli quelques unes de mes pages.

Comment peut-on laisser en l'état un lieu aussi visité, comment peut-on faire l'apologie historique d'une ville, avec force tables d'orientation et descriptifs historiques en laissant une telle minable image d'un lieu historique ?

L'état du sous sol est un facteur, imbibé d'eau la déstabilisation du support n'est plus à démontrer. 

Le stationnement aussi, bien que réglementé et interdit à cet endroit précis, l'incivisme l'emporte sur la logique.

Comment réaliser que les contrevenant sont ceux qui se plaignent de la désaffection touristique alors qu'il sont les premiers à dévaloriser ce qui est leur "gagne pain".

Enfin, comme plus avant écrit, les engins de déneigement causent de gros dégâts que la municipalité néglige.

Theologie.jpegReprésentation théologique.

Du moins une des ses multiples composantes.

On ne peut imager la théologie, cette science des textes et des croyances ne pouvant se définir dans une représentation.

Toutefois j'ai choisi ce dessin Internet puisqu'il pourrait se rapprocher de l'image la plus complète que pourrait avoir la multitude théologique à travers le vaste et pourtant si petit monde.

Etant très large d'esprit, j'accepte à peu près tout, je conçois facilement que chaque individu ne fait qu'un, bien que l'humanité ne soit composée que de cet unique concept différent et pourtant identique aux sept milliards d'autres.

Deux choses que j'abomine par-dessus tout c'est le vol et le mensonge. Une chose que je ne supporte pas et qui est facteur de presque tous les maux c'est la jalousie.

L'unité dans la multitude est difficile à concevoir, c'est pourtant ce qui permet de faire fonctionner l'humanité et de lui garder ce caractère si complexe.

L'humanité pourrait être comparée à une entité immuable fonctionnant grâce à une multitude d'unités fonctionnant en symbiose les unes avec les autres. Un super cerveau en quelque sorte.

En ce sens, et pour en revenir à mon article de début de page, j'entends que la laïcité puisse se répondre d'un fonctionnement universel composé de particularismes s'acceptant les uns les autres, ou un mariage réussi.

Avancer l'idée de mariage de cette façon basique par les temps qui courrent pourrait être provocateur, pourtant si j'admets et avalise le fait que chaque individu puisse fonctionner tel que son psychisme l'impose, je reste campé sur le fait que dans tout ce qui existe, le mariage, que ce soit d'éléments physiques, psychiques ou religieux, ne peut trouver son vrai sens que dans l'alliance de deux éléments différents pouvant donner naissance à un élément unique, semblable mais différent des éléments mariés.

De ce point de vue, la chimie rejoint la physique et la parapsychologie qui n'est qu'une pseudo-science. 

Pour faire plus simple, la laïcité se définie par l'acceptation de toutes formes de pensées et d'obédiences sans que n'influe un caractère discriminatoire qui l'emporterait sur la base.

Je ne me défini pas comme ayant une attache particulière envers un fonctionnement politique bien défini, chaque individu penche pour un mouvement religieux ou politique ayant les traits caractéristiques de ce dont à quoi il aspire.

Un homme d'affaire traitant de la finance n'aura pas les mêmes préoccupations qu'un agriculteur qui vient de subir une période de sécheresse ou des inondations !

Ce qui détermine un penchant pour une obédience politique dépend essentiellement des préoccupations immédiates et environnementales de chaque individu.

C'est la raison pour laquelle je respecte tout un chacun, libre d'être de droite, de gauche, d'extrême droite ou d'extrême gauche puisqu'une recherche personnelle détermine ce dont à quoi il aspire.

Je ne doute pas un instant que Mr le Président de la République ne soit sincère dans ses choix et objectifs, ce qui m'achoppe c'est de sortir de la route pour obtenir le poste convoité en promettant ce qui est impossible à tenir.

C'est également valable pour les élections municipales, je ne doute pas un instant que Mr le Maire de Briançon n'ait d'autres objectifs que ce à quoi il croit et surtout d'avoir une équipe à laquelle il a fait croire, à tort ou à raison, que son fonctionnement pourrait être en symbiose avec la sienne.

La politique c'est une gigantesque complexité qui vise à imposer un mode de fonctionnement qui pourrait convenir à une majorité de gens.

C'est une prouesse très délicate, il est de toute évidence qu'existera toujours une contre politique allant à contre sens de celle défini et appliquée par le ou les personnages en place.

Cependant, et pour en revenir à Briançon, fonctionner à l'encontre de ce qu'aspire la majorité de la population de façon impartiale provoque un mécontentement qui laisse à la population le sentiment d'avoir été trahie.

Si pour pouvoir accéder aux affaires il faut passer par la condescendance et l'obséquiosité c'est que la réflexion de base est déjà déviée avant même les élections.

Si de dire oui à tout un chacun en promettant des actions particulières au cas par cas alors qu'on est même incapable de résoudre les collégiales revient à s'enfermer dans le mensonge et la dissimulation permanente.

C'est ce qui coute le plus cher, autant par les finances que par la crédibilité.

Pour pallier ces carences et ces problèmes incontournables il y a les expédients, on en a la preuve assez souvent dans notre ville puisque de parader et mettre en avant des éléments superficiels en les présentant indispensables dans une propagande politique déguisée en journal municipal est un aveux d'impuissance, quand on est efficace et que c'est perçu comme tel nul besoin de faire l'apologie d'un travail accompli, la population d'elle même s'en rendra rapidement compte et tressera des lauriers à celui qui saura répondre à ce dont à quoi elle aspire.

Si cette dernière phrase vise la municipalité actuelle, elle vise aussi les futurs candidats, pour partir sur un objectif bien défini favorisant le bien être d'une population il est indispensable de s'extraire de la théologie politique à laquelle chaque candidat appartient pour répondre efficacement et sans contrainte à l'attente des administrés.

Dans ce monde en décadence et ne sachant plus à quel "saint" se vouer l'erreur devient impossible.

Maintenant, il faut considérer qu'un homme est avant tout sujet à des failles et des faiblesses, celui qui prétend le contraire est un menteur. (Quand je dis "homme" c'est au sens humanitaire, les femmes  sont incluses)

Un politicien qui fait une erreur, ça s'accepte, le tout c'est de ne pas persister dans l'erreur, ça devient une faute et ça ne s'accepte plus.

Un politicien qui admettra avoir fait une erreur se verra plus facilement appuyé par ses concitoyens surtout s'il tient compte de la mise en garde que pourraient lui avancer ses administrés.

Il est navrant qu'à Briançon la persistance dans l'erreur soit devenu une institution, rien ne vient laisser apparaître qu'une marche arrière pourrait être encore possible.

Demain nous iront faire une balade à la Shappe, du moins au parc, pour nous reposer de ces orgies politiques et de ces misères qui ne nous lâchent pas.

Bonne semaine à tous. 

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