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Pansements routiers.
Enrobé à froid, solution "miracle" pour intervenir sur des dégâts routiers limités et de façon provisoire.
Cette matière, hautement toxique, se garde plusieurs semaines à l'abri relatif de la chaleurs, du froid et de la poussière.
Son prix varie de 120 à 140 Euros la tonne, la livraison de 10 m3 (Un six roues ou camion de 26 tonnes trois essieux) soit environ 16 tonnes, se monte à 400 Euros par camion.
Le principal fournisseur de la région est la "Routière du Midi" à Saint Martin de Queyrières et Saint Clément sur Durance.
Ce dernier site produit la plupart de l'enrobé à chaud de la région, très utilisé pour les travaux routiers.
L'enrobé à chaud ne peut se faire que par des professionnels, la préparation de la route et l'épandage nécessite du matériel lourd et spécifique, il faut du personnel en conséquence, la neutralisation des parties de routes à traiter et la mise en place d'une circulation alternée par feux tricolores ou personnels avec panneaux mobiles.
L'autorisation de la DIR est indispensable.
La majorité des travaux de réfection routière est organisée par la DIR, les routes concernées sont celle qui "souffrent" le plus ce qui ne manque pas dans notre région accidentée et combien soumise aux aléas climatiques.
Le réseau urbain d'une ville ou d'un village dépend du maire de la commune concernée, ce dernier doit savoir évaluer l'urgence d'une réfection et le coût.
Lorsqu'il y a quelques trous à boucher, de façon provisoire, on a recours à l'enrobé à froid, moins cher et facile d'emploi il peut être manipulé par tous les ouvriers sous conditions de sécurité et d'environnement.
L'enrobé à froid ne saurait se substituer à la réfection d'une rue ou route, il arrive un moment ou le support n'est plus assez cohérent pour accepter les bouchons provisoires.
Sauf à Briançon, ville exceptionnelle dans laquelle on doit certainement battre tous les records de bouchons, il est même presque certains que beaucoup de rues ne sont plus qu'accumulations de bouchons mis et remis les uns sur les autres durant des années.
Celle que je connais la mieux c'est l'avenue Vauban en vieille ville, depuis cinquante ans on y met régulièrement des tonnes d'enrobé à froid tous les ans.
Je mets bien des tonnes, cette matière visqueuse, malodorante et très polluante jusqu'à solidification servant de "bouche-trou" à presque toutes les misères routière de la ville, y compris certains trottoirs qui pourtant sont pavés.
Connaissant le nombre très conséquent de misères routières briançonnaises il n'est pas difficile d'en tirer les conclusions suivantes.
Sur la totalité du territoire de la commune j'estime à environ 25 tonnes par an l'utilisation de cet enrobé, mais je peux me tromper, c'est peut-être plus comme c'est peut-être moins, ce n'est qu'une moyenne.
En matière de record de bouchon à Briançon je pense que la palme revient au secteur Chamandrin / Saint Blaise, je me demande même s'il reste visible de la chaussée primitive.
Donc, compter environ 4500 Euros l'an (Livraison comprise) le bouchage provisoire/définitif de nos misères routières en excluant le coût de la main-d'oeuvre, les véhicules mobilisés pour ce faire, le matériel utilisé et parfois non réutilisable ainsi que le nettoyage des rues et routes concernées après désagrégation des bouchons, ces derniers souvent déposés en dépit du bon sens sans nettoyage préventif.
Bouchons miracles.
Je ne parle pas du petit bouchon qui est dans la poussette, ce genre de bouchon est toujours une forme de miracle et certainement les plus agréables bouchons de toute la création.
Je désigne les bouchons d'enrobé qui servent de supports provisoires à cette terrasse d'un café de la place de l'Europe.
Donc, après ma "trouphobie" maladive me voilà atteint de la "bouchonophobie" chronique, mon médecin traitant va avoir du mal à trouver un remède.
Une autre maladie rare qui m'affecte.
La "troubouchonophobie" qui consiste à me rendre particulièrement allergique à la communion des deux phénomènes, trous et bouchons.
En parcourant quelques-unes de mes nombreuses pages antérieures faisant état du sujet, vous constaterez qu'à Briançon il y a des trous préférentiels.
Ceux qu'on bouche en priorité au détriment d'autres pas assez mûr, là aussi, à l'instar des fruits et légumes, ça doit dépendre des saisons.
Il est possible que le stationnement "interdit-autorisé-préférentiel" soit une entrave à la bonne exécution de travaux de rebouchage.
Il est à noter que la police municipale à fait très correctement son travail, je me demande seulement si c'est efficace puisque qu'on revoit les mêmes au mêmes endroits quelques jours plus tard.
Où, miracle de la complaisance, certains passes-droits pallieraient-ils le travail devenant inutile de ces fonctionnaires de police, ce qui est décourageant !
Cet endroit de la ville a tendance à me rendre malade d'une nouvelle affection, "l'herbefollophobie" une certaine aversion pour la salade briançonnaise cultivée en pleine rue.
Voir des pages de plusieurs mois sur lesquelles vous pourrez aussi déguster les croquettes qui vont avec, des fraiches, des moelleuses et des croquantes, croquettes maintenant devenues très rares grâce au travail soigné du personnel communal affecté à ce secteur.
"Bouchonophobie" chronique allergisante.
Maladie psychosomatique, je ne sais si c'est contagieux, je sais que le remède consiste à avoir une place dans le conseil municipal ce qui permet d'occulter totalement l'aspect répulsif des lieux concernés.
Ou, ne pas regarder pour éviter de voir, une très bonne méthode similaire à celle qui consiste à entendre sans écouter.
J'ai remarqué que de faire preuve de complaisance envers certains responsables a le pouvoir d'inhiber la sensation de répulsion qu'on pourrait avoir quand on est une personne normale non affectée par la "lècheculose-partisane", maladie chronique politique hautement contagieuse affectant principalement les proches collaborateurs d'une personne aux fonctions supérieures, de plus en plus affectante fonction de la place qu'on occupe dans la hiérarchie.
Lécher les culs au sens figuré bien sûr, j'espère qu'il n'existe pas de variante rendant concrète cette prouesse hautement dégradante pour le lécheur mais peut-être jouissive pour le léché. (Surtout pour les narines mais là sont plus concernés les suce-pets (Suspects), cette matière gazeuse étant plus difficile à manipuler, surtout avec la langue)
Cette rue du Temple qui est maintenant propre tous les jours doit avoir, à elle seule, la palme des dépenses en enrobé à froid, je me demande même s'il est encore possible de trouver la chaussée d'origine sous ces accumulations de bouchons.
Attention, ce n'est pas une spécificité socialiste, la droite à une grande part de ces délices de la vieille ville, voire de la ville toute entière.
Comment nommer cette photo ?
Travail effectué par du personnel de l'entreprise ALLAMANO, sans équipement pour tasser l'enrobé.
Je passe les odeurs de pétrole émanantes de ces dépôts (J'allais mettre réparations mais ce serait trop d'honneur pour un tel travail de dégueulasse) quand on a les fenêtres juste au-dessus c'est un bonheur pour les narines, on mange pétrole, on boit pétrole, on vit pétrole durant le temps de séchage, par ces températures ce derniers est plus conséquent.
C'est rue Mercerie, au pied de mon petit chez-moi.
Pareil, cette rue devait être refaite en totalité en 1997, après la réfection complète de la Grande Rue, il semblerait que les finances n'aient pas suivi, ce qui est concevable, il ne s'agit pas, là, de refaire de l'enrobé, c'est tout un travail d'artisan qui a un coût nettement plus élevé qu'une simple restructuration routière.
Toutefois, compte tenu des finances possibles dans le cadre du classement UNESCO, cette petite gargouille mériterait plus d'attention.
Posé là comme un chien fout sa merde.
Sans nettoyage préalable.
Et ça colle aux semelles.
Un vrai bonheur.
Si je dis que c'est du travail de "salaud" on va me dire que l'endroit n'est pas franchement accessible, ce à quoi je répondrais que les professionnels sont tenu d'assumer leurs prestations fonction des lieux et des supports à traiter, la facture est certainement en conséquence sauf si des ordres ont été donnés pour cacher la merde au chat. (Ce qui ne me surprendrait pas du tout)
Sous cette optique on dédouane la société exécutrice en faveur d'un laxisme municipal déjà connu.
Pour information, ce n'est pas le personnel communal qui a effectué le travail, c'est l'entreprise ALLAMANO, donc un coût supplémentaire pour la collectivité.
Travaux d'urgences fait à la va vite deux jours avant la fête médiévale.
Il fallait le faire, c'est imparable, cependant de s'y prendre plus tôt aurait été mieux, par temps plus frais aussi pour permettre à l'enrobé de se solidifier plus facilement (Quoi que, vu le travail ça ne va pas rester bien longtemps), cette apparente précipitation est une signature.
Tassement par chenillette.
Efficacité très douteuse.
Celle-ci.
Seul dispositif pour pouvoir mener l'enrobé dans la petite gargouille.
L'engin "BOMAG" que vous voyez sur la camionnette ne sert pas, c'est, en principe, pour tasser l'enrobé, certains promènent leur chien d'autres leurs outils, on fait ce qu'on peu, on n'est pas des boeufs.
La fin d'un furoncle.
Démolition du bâtiment de la DDE.
A la grue, les moyens pyrotechniques coutent très cher.
Voilà du futur granulat pour faire de l'enrobé, du moins une partie.
Un gros travail.
Qui paye ???
Pas beaucoup d'informations en ce sens.
Ce soir réunion du conseil municipal, pas de "scoop", du tout venant j'aurais bien aimé avoir le contenu des trois avenants projet "urbain coeur de ville".
Porte de Pignerol.
Qui a fait "peau neuve", ce ravalement devenait très urgent, j'en ai fait état des mois durant.
L'arche d'accès n'en reste pas moins dégradé, j'ai bien vu du personnel supprimer des jointoiements pour, certainement, les remplacer par d'autres mais le problème de fond réside dans la partie interne, tant que cette dernière ne sera pas traité le reste est inutile.
Comme le reste, c'est un coût non urgent, peut-être qu'en posant des tirants provisoires on fera durer plusieurs années sans trop de dommage à condition d'étanchéifier les dégâts inférieurs avant les gelées.
Un gros travail.
Ça gonfle de mois en mois.
Je n'invente rien.
Ce n'est pas urgent c'est pressé, très pressé même.
Ce n'est pas de la critique malsaine, c'est une évidence qu'il faut rapidement prendre au sérieux, si vous regardez les mêmes images que j'ai diffusées du même endroit, il y a deux ans environ, vous constaterez un déplacement important qui prend de l'ampleur.
Les débris de la structure, qui jonchent le sol au pied de cet édifice, sont révélateurs d'une imminence.
Dès que la première pierre tombera les autres suivront.
Aéroport de Briançon.
C'est du moins comme tel que l'ont surnommé les riverains immédiats.
Du beau travail sauf que l'enrobé ne cadre pas avec le site. Maintenant ce n'est qu'un avis personnel, cette place avait grand besoin d'être refaite et il est dommage que ce se soit fait en trois étapes.
Les arbres prévus sont en attente, la municipalité n'a plus de "sous" pour en acheter.
Je vais éviter cette parenthèse très discutable, on y reviendra.
Un trapon.
Pour préserver la découverte de souterrains. (Voir une de mes récentes pages)
Mais ????
Pas dit que ça résiste longtemps à ce genre de "fantaisie", ce n'est pas faute de l'avoir signalé,
L'accès à la vieille ville est limité à six tonnes, il faut croire que la réglementation n'est pas la même pour tout le monde. Soit dit en passant ce livreur n'a livré que quelques petits colis facilement transportables au "diable" (Appareil roulant manuel pour livrer des colis encombrants).
Là il y a seize tonnes qui passent trois fois la semaine le long des remparts dont une partie en réfection, la plus fragile.
A ces heures la police municipale n'est pas encore opérationnelle.
Suis-je un délateur malsain ou un citoyen soucieux de la sauvegarde de son environnement ?
Mr le Maire vous avez la réponse.
Une bonne initiative.
Je suis totalement incapable de dire s'il y avait une fontaine sur cette place Eberlé, probablement que oui, c'était les seules ressources en eau avant la création des réseaux de distribution.
Une nouvelle passerelle.
Pour la maison paroissiale.
L'ancienne devenait dangereuse.
Futurs emplacement des arbres.
En juin 2008 c'était çà.
Les racines des gros arbres faisaient pression sur les murailles, c'est du moins ce qui aurait justifié leur suppression.
Du bon travail.
Du moins à mon avis, il est plus agréable de regarder le panorama en un lieu propre et fonctionnel.
Six ans.
Que c'est à l'identique.
En fait savoir si le propriétaire, semblant n'être plus joignable, est responsable de l'entretient ou si la municipalité, dans un souci constant de montrer une image valorisante de la vieille ville, ne pourrait s'y substituer ne serait que pour redonner à ce passage très fréquenté une apparence plus flatteuse.
Idem.
Rien n'interdit à la municipalité d'intervenir auprès des propriétaires pour faire effectuer l'effacement, après épuisement de toutes les procédures d'usage, faire effectuer les travaux et envoyer la facture.
Encore de ces petites choses qui nous pourrissent quotidiennement la vie.
La suite très bientôt.
Bonne soirée à tous.
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