Qui défend quoi !

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1957 François en primaire-copie-1J"avais sept ans. (La bouille et les mains sales. Beurk)


A l'école nous étions éduqués par des moyens qui feraient bondir nos instituteurs d'aujourd'hui.


Les classes comptaient souvent 30/35 élèves sans que ces instituteurs de l'époque, qu'on appelait maitre ou maitresse, ne défilent dans les rues pour demander une diminution de leurs charges de travail accompagné d'une substantielle augmentation de salaire.


Le niveau de l'époque était aussi plus élevé dans une catégorie équivalente d'aujourd'hui, il est à déplorer à ce jour que certains se voient attribuer un poste d'enseignant manquant eux-même d'une excellence d'éducation. (Ce n'est pas une généralité, heureusement)


Ces lacunes se perpétuant d'enseignants à enseignés le résultat commence cruellement à se faire sentir sur notre jeunesse actuelle plus disposée à utiliser les moyens modernes d'aide à l'éducation (Ordinateurs, calculettes, etc.) que de faire travailler les neurones.


Cependant, ce qu'on nous demandait à l'époque est maintenant condensé dans quelques méga-octets disponibles en permanence à condition de posséder un ordinateur.


Loin d'y voir un déclin ou une critique ce sont des outils fort utiles dont je me sers moi-même largement.


L'inconvénient, puisqu'il y en a au moins un, c'est d'avoir délaissé le mémoriel cérébral au profit du mémoriel électronique, une sorte de soumission à la machine entrainant une dépendance qui va être de plus en plus difficile à éviter dans un monde où la soumission d'un individu est la clef d'organisations politiques ou/et commerciales ciblées.


En ce sens, moins un individu se pose de question plus il est facile de le conditionner à accepter le bourrage de crâne politique et commercial qui l'amènera à consacrer le plus de finances possible à ces deux derniers critères, et ce toute sa vie.


On appelle cela la civilisation moderne démocratique.


Etant gamins, nous recevions, en classe, des leçons de morale, dès le cours élémentaire on nous apprenait à faire la différence entre le bien et le mal, entre la Loi et l'anarchie (Qu'on n'appelait pas encore comme ça, on disait tromperie).


Si les bases sont discutables, puisque beaucoup résultaient de préceptes pétainistes, les grandes lignes morales étaient quand-même préservées.


J'éviterais le sujet de la séparation des filles et des garçons à l'école.


A se demander d'ailleurs ce que deux enfants de sexes opposés, en si bas âge, auraient bien pu faire craindre à la morale publique puisque dès l'entrée au collège ou au lycée la mixité retrouvait ses droits à un âge, justement, ou il y avait bien plus à craindre du relationnel que celui des bambins en primaire. Comprenne qui pourra.


Dans ces leçons de morale arrivait en première place le mensonge. (Constater que l'enseignement de la morale et du catéchisme sont curieusement complémentaires)


Donc en déduire que plus un homme monte dans l'échelle sociale et hiérarchique plus il est censé devenir un modèle de vertus et de respect.


On peut donc en déduire qu'il aurait été hors de question qu'un Président de la république s'exclame en public "casse toi pauvre con" ou qu'un premier ministre vienne déclarer au peuple tout entier, par médias interposés, qu'un de ses plus fidèles citoyens fiscaux est un minable parce qu'il essaie de préserver une infime partie des recettes de son travail qui profite majoritairement à l'Etat.


On peut aussi se dire que tout homme entrant dans les responsabilités est un exemple d'honnêteté et capable de partager équitablement ce qu'il possède avec ceux moins bien lotis que lui.


C'est du moins la définition du social à l'état pur, c'est aussi un des préceptes du parti communiste qui l'applique d'ailleurs mais de façon un peu trop décalé au gout du peuple, sauf celui qui est tellement subjugué qu'il ne sait même plus que le reste du monde existe.


130 morale-lai queNos ministres veillent.


A ce que le peuple respecte les préceptes sociaux, base de notre démocratie.


Certains réalisant que cette morale se perd et se souvenant qu'à une époque pas si lointaine ces leçons de morale avaient quelques utilités, se pose alors la question de savoir si de reprendre quelques applications anciennes ne serait pas bénéfique à nos chers bambins.


On pourrait donc adapter une forme d'éducation aux paradoxes consistant à leur faire croire qu'une fille peut être un garçon, et vice versa, tandis qu'on leur demanderait de respecter une parité qu'on tend à laminer par l'application de la précédente.


Par définition une fille met une robe et un garçon un pantalon.


C'est ce qui fait la différence vestimentaire entre un homme et une femme même à l'Assemblée Nationale où certaines se voient suspectées de n'appartenir qu'à une basse-cour de campagne.


On veut donc détruire à l'école primaire des clichés qu'on aimerait bien voir plus différenciés à l'assemblée Nationale, lieu de haute morale où d'aucun ne se permettrait de s'y déroger. 


Du moins dans la théorie, les exemples fréquents nous laissent à croire que l'assemblée nationale ressemble plus à une cour de collège (De la 6ème à la 4ème) qu'à un haut lieu de l'Etat ou se règle les affaires du pays.


Maintenant, je me dis que si les députés était payés au SMIC et au temps de présence ils seraient plus assidus à leur fonction et certainement plus présent dans l'hémicycle, d'ailleurs il n'y aurait plus que ceux qui ont la fibre politique, la vraie.


Ceux qui sont venus chercher des finances faciles disparaitront des bancs de l'assemblée pour se consacrer à leurs autres mandats, tout aussi lucratifs d'ailleurs.


Pour faire un bon politique il faut d'abord savoir mentir et tricher, quand on rentre dans le monde des truants officiels, ceux reconnus par le peuple grâce aux élections, il est indispensable de pouvoir être le plus truant possible pour passer avant les autres.


Mr Bérégovoy l'avait bien compris puisque son "suicide", certainement assisté, a prouvé aux français qu'un autodidacte n'avait pas sa place dans un tel repère de requins quand on veut rester honnête et consacrer sa fonction dans l'intérêt du peuple.


Bref, en ces temps de séismes politiques et de mensonges accumulés il faut mentir encore et ponctionner un maximum pour justifier d'une panne gouvernementale chronique.


De voir ces ministres résolus à changer les choses (C'est fait d'ailleurs mais pas comme l'attend le peuple) par surabondance de clichés médiatiques télévisuels et de grandes envolées lyriques on se demande alors de quoi pourrions nous nous plaindre avec de tels arguments et d'aussi performants personnages pourtant accrochés à une branche pourrie jusqu'au coeur. 


Le secret c'est l'appartenance et le pouvoir que procure la place en plus de ce qu'elle rapporte financièrement.


Les français financent, par des impôts de plus en plus lourds et détournés, des gens incapables de sortir le pays de la crise que des prédécesseurs leur auraient laissés.


D'ailleurs, ceux qui étaient là avant s'insurgent d'une politique actuelle, exactement la même que celle qu'ils appliquaient d'ailleurs, en prouvant par maintes affirmations qu'ils ont la solution.


Ce qui est bien, en politique, c'est que les solutions ne passent jamais la porte des fonctions, ça ne reste que des solutions d'opposition, qu'elle qu'en soit la couleur.


Une fois élus, ceux qui avaient les solutions les prêtent à ceux qui sont passés dans l'opposition pour qu'ils s'en servent à leur tour afin de regagner une place prétée pour quelques années.


En fait les solutions sont des objets virtuels électoraux ne pouvant être utilisés que si on se trouve dans l'opposition, la majorité, elle, n'en a plus besoin, elle a la place et s'en sert pour des intérêts plus personnels que collégiaux bien que le contraire en soit l'objectif primaire.


Morale-politiquePetit dessins humoristique Internet.


Dans lequel on a oublié Flamby 1er, roi des Francais par intérim et empereur d'Afrique, (Ou le nouveau Négus comme Haïlé Sélassié, le roi des roi d'Afrique, grand ami de la France qui a assisté aux obsèque du Général De Gaulle) continent dans lequel il brille le plus, le soleil équatorial lui étant plus bénéfique que celui de nos contrées grisâtres, surtout avec le pognon des français de métropole.


Tout le monde reconnaitra donc trois de nos Présidents de la cinquième (République bien sûr, pas celle de Beethoven pourtant plus agréable) dont un auquel j'ai cru, Mr Chirac qui nous a pourtant laissé quelques cadeaux empoisonnés.


Un autre auquel je n'ai pas cru mais qui m'a pourtant personnellement envoyé une carte dédicacé de voeux de bonheurs (Que j'ai toujours (la carte pas le bonheur)) quand je me suis marié en 1982, Mr Mitterrand auquel pourtant je dois aussi d'avoir obtenu une place dans la fonction publique (Conducteur de train sur le RER) en 1983 quand il a ordonné l'embauche massive dans le secteur du fonctionnariat, ce qui assure aussi ma retraite d'aujourd'hui.


On pourrait me reprocher d'être ingrat pour un homme qui a facilité mon embauche dans le secteur public mais je pars du principe que ce sont mes capacités et connaissances du moment qui ont été déterminantes ainsi que mon obstination à parfaire un travail qu'on m'a confié.


Sinon j'aurais persévéré soit sur la route soit en continuant d'installer et câbler des armoires électroniques dans les grands centres industriels comme je l'avais commencé.


Enfin Mr Sarkozy pour lequel j'ai voté en 2007 au deuxième tour, ayant voté FN au premier.


Ce dernier, donc, célèbre pour ses gesticulations à la "De Funès", par son appétit du pouvoir et par ses prouesses à obtenir pour lui même et ses proches des émoluments d'Etat que personne avant lui n'avait osé imposer au peuple.


Ne pas oublier qu'on n'est jamais aussi bien servi que par soit-même et quand on a atteint la dernière marche, comme il s'en vantait tant, on n'a plus de compte à rendre à personne.


Enfin si ! En théorie à rendre au peuple à condition de le respecter ce qui n'est pas prévu dans l'application, que font ces braves présidents, de la constitution.


Ce qui fait qu'au bout de cinq ans il s'est fait "virer" par un peuple versatile qui est toujours impatient, encore une connerie d'avoir réduit le mandat présidentiel alors que pour voir les effets d'une politique choisie sept ans ne sont pas de trop.


Pas sûr qu'avec deux ans de plus Mr sarkozy n'aurait pas été réélu.


Ce peuple, à la place, à mis une potiche à l'Elysée avec un mode d'emploi que ce dernier n'arrive pas encore à comprendre correctement.


Les bons, ceux qui auraient été capables, ont été écartés, soit parcequ'ils ont un tempérament fougueux mais pourtant personnel, Mr Strauss-Kahn, pour lequel j'aurais certainement voté au deuxième tour, politicien confirmé et financier de grande qualité ou Mr Juppé, ce dernier n'ayant pas que du bonheur dans son palmarès personnel mais étant aussi un excellent politicien.


Ces trois Présidents, donc, nous ont raconté pas mal de bobards, nous ont promis monts et merveilles en nous faisant croire que ça existait.


Pour qui suit un peu la vie politique, la société parfaite n'existe pas, les monts sont inaccessibles et les merveilles réservées au Père Noël une fois l'an. (En fait c'est plutôt la merveille du commerce mais bref)


Pourtant, pour qui se fend de regarder, de temps en temps, les débats à l'Assemblée Nationale, surtout le mercredi, (Qu'on appelle en douce "l'heure de guignol") on en arrive à se demander ce que certains font dans cet hémicycle à les voir bavarder comme s'ils partageaient un apéro au bistro du coin, franchement ça ne fait pas sérieux pour des gens si cher payé pour si peu.


Pourtant, à certaines occasions, l'attention générale est subjuguée par des déclarations retentissantes, tel Jules César au forum romain, Mr Cahuzac, déclarant haut et fort prenant l'assemblée à témoin que jamais il n'avait disposé de compte bancaire à l'étranger, s'est vite trouvé en défaut de mensonge dépassant largement ce qu'on pourrait reprocher à un mensonge "usuel".


Demander à un peuple et à des élus locaux la vérité alors que l'exemple gouvernemental fait tout le contraire c'est à coup sur une leçon de morale déplacée de la part d'un gouvernement qui, quelques jours auparavant, déclarait que le modèle de ce gouvernement devait être la vérité et la transparence.


La lessive politique socialiste ne doit pas être de bonne qualité, l'opacité de la transparence rend aveugles ceux qui ne voient pas et crédules ceux qui voient.


morale10En effet, il a raison ce petit.


Quand on promet on tient.


La preuve, le mariage pour tous, quelle magnifique manipulation des masses, cette promesse d'un candidat niait (Même avant d'être élu, pour dire à quel point il était urgent de virer "sarko" à tout prix) à un peuple exacerbé par la médiatisation de l'évènement et les rassemblements qui y ont fait face, rondement mené pour détourner l'attention et ça marche.


Le Président, déjà impopulaire, a du se féliciter (Se féliciter c'est l'action d'être content de soi quand les autres ne le sont pas, forme d'autosatisfaction à se couvrir de la gloire ou du bon travail des autres quand on est infoutu capable de le faire soi-même) d'avoir pu faire passer à l'Assemblée Nationale autant de décrets et d'amendements impopulaires en si peu de temps, le peuple subjugué par ce mariage contre nature qui n'intéresse que quelques milliers d'individu(e)s qui n'en n'ont même pas fait usage pour la plupart.


Par contre une promesse basée sur du fluctuant c'est plus difficile à tenir, vouloir résoudre un problème qu'on tend à amplifier par des mesures draconiennes n'est pas chose aisée.


Le chômage en est le flagrant exemple d'autant que ne sont considérés, dans les statistiques, que ceux qui sont inscrits à Pole-Emploi, les chômeurs longue durée sont rayés des listes pour ne plus être indemnisés et sortent du circuit officiel.


Ajouter à cela ceux qui ne peuvent s'inscrire parce qu'ils travaillent 10 ou 15 heures par semaine et voilà encore un motif d'autosatisfaction.


Le bal des faux-culs est ouvert. 


Tout çà face à une opposition muette et endormie, déboussolée par la guéguerre interne de deux de ses coqs de combat voulant la place de chef d'un parti mal en point. J'ai nommé Mrs Copé et Fillon sponsors du parachute briançonnais, Mr Arnaud Murgiat, ancien nouveau briançonnais de souche par parent interposés.


Les aristocrates de droite ont laissé flotter les rubans (Expression populaire voulant dire laisser faire) sachant très bien que ces mesures impopulaires valent mieux d'être responsabilisées par la gauche naïve, surtout ne pas intervenir sur ce qui sera en place quand la droite reviendra "aux affaires" comme ils disent. 


Quand ces mesures seront appliquées par la droite, parce que très lucratives pour ces renards du lucre, cette dernière pourra toujours arguer, à juste raison, que ce sont les socialistes qui les ont mises en place en se régalant de ce travail ingrat effectué par ceux qu'on abomine publiquement et qu'on remercie en privé.


Ou, au pays des faux-culs, ne pas se priver de passer pour un con quelques jours pouvu que ça rapporte.


Et à droite, surtout à l'UMP, on aime bien que ça rapporte.


D'ailleurs il semble que pour être dans les papiers de ce cercle très fermé il est de bon ton d'avoir possessions et titres.


Dans la Rome antique l'aristocratie était seule en possibilité d'obtenir des postes d'importance, sénateur, consul, proconsul, préteur, propréteur, censeur, tribun, édile, questeur et d'autres ne pouvant être obtenus qu'a condition de justifier d'une fortune personnelle d'importance, plusieurs millions de sesterces soit l'équivalent de plusieurs millions d'Euros à ce jour chez nous.


Les charges s'achetaient comme aujourd'hui les charges s'achètent par électeurs interposés, ce qui a vallut à Mr Sarkozy un dépassement de frais de campagne généreusement remboursés par ses fidèles serviteurs.


Rien de bien nouveau 2000 ans plus tard puisque nos sociétés européennes d'aujourd'hui sont encore régies par ces dispositions romaines.


h-20-2675334-1325970348De nature à douter de la république telle qu'elle est définie.


De là à considérer que le peuple n'est représenté que par une majorité de minables il n'y a qu'un pas qu'à d'ailleurs franchi Mr Eyrault en y incluant Gérard Depardieu qui, je l'espère pour lui, gagne plus de 5000 € par mois.


Mr Copé, nanti de la droite, aristocrate imbu de sa personne, décideur faiseur de beau temps, ayant "acheté" son élection à la tête de l'UMP, ne se mélange pas avec un peuple qu'il sollicite pourtant pour arriver sur la dernière marche qu'a loupé au bout de cinq ans son mentor déchu de sa légitimité en 2012.


C'est aussi le grand protecteur d'un certain parachute briançonnais, tout aussi imbu de sa personne, qui doit posséder une fortune personnelle lui permettant d'entrer dans le cercle très privé des élus de la République pouvant justifier d'au moins 5000 € de revenus par mois.

 

Si c'est ce genre d'individu qui prend la tête de la ville de Briançon je ne doute pas un instant que ses connaissances en matière de finances lui soient utiles pour passer au stade supérieur qui doit atteindre 10 000 € par mois, ce qui se ferait assez facilement en briguant un mandat de maire au tarif de 2471,00 € par mois net d'impôts.


Un tremplin pour accéder à un mandat cumulé de conseiller général payé 1520,59 € pour un petit département comme les Hautes Alpes n'ayant même pas 150 000 habitants.


Je ne doute pas que les petites magouilles habituelles, les arrangements divers et les pots de vin complaisants pour services personnels rendus ne permettent d'arriver à la somme requise pour faire partie du cercle copéiste.


Parce que ceux qui s'imaginent qu'un élu partisant de la droite est intègre se fourrent le doigt dans l'oeil jusquau plus profond de leur fondement, un mandat électif ouvre tellement de portes lucratives qu'il est impératif de se battre pour l'obtenir.


Après, si on a le temps, on délèguera deux ou trois subordonnés parmi les conseillers, avides de pouvoir briller, pour s'occuper de la plèbe.


Mais, ces élus, ne manqueront pas d'être présents à presque toutes les cérémonies, non pour honorer ceux qui sont concernés par cette cérémonie mais pour prouver à la plèbe déçue qu'ils sont bien aux commandes et comptent bien y rester.


Au bal des faux-cul on laisse sa conscience au vestiaire.


La morale de cette histoire c'est que sans morale il n'y a plus de morale.


Bon, ce n'est pas tout ça mais j'ai ma soupe à faire.


Bonne soirée à tous et bonne année à ceux qui se sentent concernés, j'ai horreur de ceux qui me souhaitent du bien en priant que je n'ai que des emmerdes.


Au bal des faux-culs ils se bousculent. 


Qui défend quoi ? Les élus défendent leurs places et leurs profits alors que les électeurs défendent leur pouvoir d'achat qui alimente les premiers.  


L'UMP défend l'aristocratie et la finance pour soi, le PS défend les finances du peuple à son seul profit.


Et vous ne savez pas ! Ce n'est pas encore demain que ça va changer.


Allez, Ciao  


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