Ma petite revue de presse du 19/10/2016

Publié le par francois.ihuel15.over-blog.fr

Des infos pas vraiment fraiches mais qui méritent de s'y arrêter, ne serait-ce que du fait qu'elles sont toujours d'actualité.

Ma petite revue de presse du 19/10/2016
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Une idée fixe ?

Une psychose ? Un syndrome ? Dont je souffrirais ?

Pas forcément, juste l'incivisme récurent.

Cette jeune femme, pas trente ans, ne semble pas souffrir de maux qui pourraient expliquer se rapprocher de son domicile.

Quand on habite en vieille ville il faut aussi savoir en accepter les inconvénients.

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Il y a l'incontournable.

Le seul accès possible pour de gros véhicules, dont la nécessité de passage est indispensable, c'est par la rue de castres et les autres en prolongement.

Les riverains sont bien placés pour savoir qu'il y a des travaux d'importance place Blanchard, la signalisation spécifique mise en place est également très claire, il est indispensable de laisser le libre passage à ces véhicules.

C'est la raison pour laquelle on a renforcé le ponton de la porte Dauphine avec des étais de chantiers, de façon à absorber le surplus de poids.

En ce sens le stationnement est interdit tout le long du parcourt.

Pourtant ?

Incivilités récurrentes, immatriculée en Angleterre je ne doute pas un instant que son (ou sa) conducteur ne connaisse parfaitement la vieille ville.

Alors pourquoi se complaire dans l'éternelle indiscipline.

Si ce camion accroche qui est responsable ?

Le chauffeur du camion puisque le code de la route prévoit que tous conducteurs d'un véhicule doivent en avoir la maitrise pour ne pas provoquer de dommage.

Fort de cette aberration dans ces circonstances bien précises tout devient permis.

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Des dispositions limitées.

En effet, d'autres camions de livraison sont conduits par des chauffeurs n'ayant pas ces scrupules, les traces laissées sur le trottoir très dégradé de l'Avenue Vauban en témoignent.

A moins de considérer que les ST aient volontairement roulé sur cet enrobé pour le tasser ! J'ai un doute.

Ce qui serait une aberration allant à l'encontre de la préservation du patrimoine, ce n'est pas la première fois qu'un livreur monterait sur ce trottoir avec un véhicule dépassant allègrement les six tonnes autorisées. (Sens interdit, stationnement interdit pour la plupart, stop et limite de charge)

La réglementation, une fois de plus, ressemble à de la guignolade tout juste bonne à dépenser l'argent du contribuable en achat et installation de panneaux absolument inutiles. 

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Avec, bien entendu, les conséquences.

Il y a des années que je prends des photos de cet endroit, chaque fois je constate l'avancée de l'affaissement.

Cette avenue est "stratégique" pour la vieille ville, son effondrement, même partiel, aurait d'énormes conséquences en plus des réparations très couteuses.

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Ce n'est pas spécifique à Briançon.

D'autres panneaux sont également allègrement ignorés, là il fait fort le "gamin".

20 ans ça veut dire permis probatoire.

Il va donc le repasser.

Mais à ce propos !

Pourquoi tant de monde néglige volontairement la réglementation ?

Parce qu'il n'y a plus de chef, il n'y a plus de responsable, il n'y a plus d'autorité.

Les médias déversent journellement des infos prouvant que tout devient permis en France, le Ministre de l'Intérieur lui-même minimise la portée d'actes criminels (Incendie volontaire d'une voiture de police à Mantes la Jolie).

Comment demander à un jeune de province de respecter des institutions que d'autres bafouent en permanence en presque toute impunité ?

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Ce qui expliquerait....

....Ces démentiels comportements.

Deux mineurs du briançonnais ! En fait des fils de "bonne famille" n'ayant pas l'explication du désœuvrement comme c'est très souvent le cas, des jeunes de dix sept ans dont un fils de médecins (Père et mère) de Briançon, on se pose la question de savoir quelle méthode d'éducation est appliquée chez ces gens, des "baba-cools" anti-sanction, comme je l'entend parfois, semblerait-il d'après mes informateurs.

La déresponsabilisation parentale qui se défausse sur le secteur éducatif scolaire alors que ce n'est pas du ressort des pédagogues.

La dégradation de l’enseignement d'Etat, le laxisme d'une Justice qui ne trouve plus de références (Trop d'affaires impliquant de hauts personnages) et punit sévèrement une puérilité contre une mansuétude incompréhensible envers des actes hautement répréhensibles.

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Un abandon de responsabilité.

Qui explique aussi ces comportements.

Picoler avant de conduire c'est soit une attitude imbécile (Souvent, pour avoir le permis pas besoin d'avoir de neurone) soit une maladie chronique (Alcoolisme) qui devient ingérable.

Le radar dégradé l'est par des gens qui se font piquer souvent en excès de vitesse (Les habitués, toujours les mêmes), ce qui justifie ce radar.

Dès lors qu'on respecte la réglementation je ne vois pas en quoi un radar serait incompatible avec la conduite automobile mais c'est un vaste débat, j'ai mes détracteurs personnels.

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Circonstances aggravantes.

Une modification bienvenue des textes, avant le fait d'avoir bu servait de prétexte pour minimiser une attitude. (Circonstances atténuantes)

Nous avons hélas eut la même chose à Briançon il y a deux ans, la folie meurtrière est aussi une des conséquences du laxisme d'Etat.

Hélas aussi, encore une sortie "arrosée" de discothèque, les campagnes de préventions (Capitaine de soirée) ne sont pas toujours considérées.

Ce genre d'individu qui crache sur les contrôles de gendarmerie au petit matin les samedi et dimanche, la preuve qu'ils servent.

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Et ceux qui tentent de s'y soustraire.

Mais là il faut être complètement con pour s'imaginer semer les gendarmes, là aussi les circonstances aggravantes s'accumulent.

Il est bon d'en faire mention dans les médias, de savoir qu'il y a des forces de l'ordre efficaces est une forme de dissuasion.

Passons à autre chose.

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Dans le cadre de la défaillance des institutions.

Ce sujet je l'aurais passé s'il ne soulevait une grave question qui submerge les tribunaux.

Un fait d'agression sexuelle c'est un acte d’accusation devenu lucratif, en effet, quand la Justice reconnait ce type de délit l'Etat français verse des indemnités aux victimes, c'est même devenu une procédure fréquente dans les cas de divorces difficiles, l'accusation est un acte qui reste indélébile, quelle que soit la finalité des procédures.

Quelqu'un de parfaitement innocent qui se voit accuser d'actes répréhensibles est automatiquement catalogué coupable par l'opinion publique, la nature humaine est pourrie en ce sens, il suffit de dénoncer pour détruire une vie, une famille, une carrière, de façon irréversible.

Etant gosse, j'ai eu l'occasion d'être confronté à des situations exploitables, j'ai souvenir d'un homme qui me tripotait quand j'avais sept-huit ans, c'est très confus, j'ai oublié les détails, les circonstances et l’environnement mais je n’ai pas eu l'impression ni la notion que c'était un acte pervers ni une atteinte à mon intégrité, le contexte de l'époque était très différent, il n'était pas rare que des gamins et/ou des gamines se fassent "toucher", pas de quoi alerter les médias de la terre entière.

Maintenant il faut bien dissocier les actes, entre des tripotages courants (De l'époque, les mœurs ont changé) et des agressions sexuelles il y a un gouffre, ceux qui violent et violentent des gosses doivent être poursuivis, non pas pour le fric mais pour que la leçon soit retenue et ces individus écartés.

En fait c'était un jeune gars qui devait avoir dix sept ou dix-huit ans mais qui, vu par un enfant, pouvait passer pour un adulte mur.

Il arrivait aussi, parfois, surtout en sport, étant alors au collège, que le prof de sport nous aide à grimper à la corde lisse, une de ses mains sur nos fesses n'en faisait pas un pervers sexuel, même s'il arrivait que la main dérape, tout est exploitable fort des innombrables textes "pondus" en ce sens ces dix dernières années.

Dans le milieu du sport de jeunesse les situations ambigües sont foison, il est difficile d'éviter des enfants nus se rendant à la douche après une séance de foot ou autres circonstances dans d'autres sport mettant en présence des hommes et des enfants pour lesquels le contacts est inévitable, les Juges ont des cas de conscience énormes à gérer en cas de diffamations ou d'accusations qui pourraient paraitre fondées, le sujet est délicat, c'est aussi ce qui se discute sur certains forums.

Il en est de même à la maison, je vois mal le père ou la mère se cacher la face dès qu'un de ses enfants est nu, la paranoïa collective n'a pas de limite pour qui veut l'utiliser.

Alors je doute énormément qu'un homme qui serait âgé aujourd'hui d'une cinquantaine d'année en soit encore réduit, à l'heure actuelle, à suivre des thérapies pour oublier des faits supposés, si anciens que d'autres les auraient oublié depuis bien longtemps.

Il a dû vivre d'autres circonstances au cours desquelles il a dû être confronté à la nudité des uns et des autres, surtout au collège en qualité d'interne, il suit aussi des thérapies pour çà ? Il doit alors passer la totalité de son temps libre en séances psychologiques.

Mrs DI-FALCO je ne l'ai vu que deux fois, je ne le connais donc pas mais je ne le situe pas dans les pervers sexuels, loin s'en faut.

La facilité avec laquelle il est maintenant permis d'ouvrir des "affaires", d'ailleurs souvent prescrites, ouvrent des portes médiatiques et lucratives à ceux qui ont soif de finances faciles.

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Là j'ai fait "TILT".

Réhabiliter la mémoire d'un assassin rejoint un peu le découlement procédurier de mon précédent paragraphe.

Il veut réhabiliter la mémoire d'un père qu'il n'a pas connu, soit, c'est défendable, cependant quand on lit l’article on s'interroge,

Si descendre un flic de sang froid c'est de la légitime défense comment qualifier un acte de grande violence à l'encontre d'un commerçant paisible agressé physiquement.

Il faut raison garder, je conçois que le "coup de cœur" du fils puise ses racines dans son ascendance mais il ne faut pas charrier, les tribunaux pourvoyeurs de futurs saints ça tourne à la rigolade, je m'étonne que le clergé soit si docile à ce qu'on veuille bien lui faire prendre des vessies pour des lanternes.

On va aussi béatifier Dutrou pour la séquestration et les viol des fillettes ?

Pourquoi médiatiser ces faits ?

Là je me pose la question, il y a des sujets plus terre à terre à imprimer pour vendre des journaux, il est vrai que les articles à sensation ça fait vendre, même s'il sont couvert de merde.

Parce que je ne sais pas s'il avait l'impression de servir d'exemple en allant à la guillotine mais quand il a tué ce policier de sang froid il n'a pas dû se poser la même question.

Encore une fois on balaie les victimes pour plaindre l'assassin.

Ma petite revue de presse du 19/10/2016

Que dire alors de cette situation !

Des hommes violents c'est courant, ceux qui ne savent pas ce que sont des soirées d'enfer et d'angoisse ne peuvent pas juger.

Il ne faut pas voir la situation comme une femme désirant se débarrasser de son mari mais comme une victime qui vit un cauchemar depuis des années, quand le soir, heure propice aux angoisses et à la beuverie, une scène de ménages violente éclate et vient, une fois de plus, terroriser des enfants un déclic se fait et le réflexe d'en finir devient un automatisme de circonstance.

Des nuits de cauchemars j'en ai passé quelques-unes.

Parce que j'ai, hélas, été confronté à des scènes de ce genre étant gosse.

Mon père, dans les années 1950-1963, toujours entre deux vins, plutôt plus que moins, avait le coup de poing facile sur ma mère avec nous comme témoins directs, quand on est petit enfant, qu'on s'accroche en pleurant à sa mère qui prend des coups pour éviter qu'ils nous atteignent, les cris et les hurlements des frères et sœurs, les plus âgés pour séparer, les plus faibles par la peur angoissante de ces coups qui pleuvent sur ce qu'on a de plus cher au monde, on sait exactement de quoi il en retourne quand on lit des articles sur le sujet.

Évidemment, quand on est assis à lire son journal en sirotant un café, on est aux antipode du contexte, on se contente de "juger" sans savoir, fonction qu'on est homme ou femme, heureux ou malheureux, nantis ou fauché, bref on assimile une information fonction de la disposition d'esprit et le contexte dans lesquelles on se trouve.

A l'époque nous habitions à Courbevoie, en caserne de Gendarmerie, ou plutôt de "Gardes Mobiles" comme c'était nommé à l'époque.

Quand nous étions en Bretagne c'était encore pire au milieu de tous ces poivrots et soutenu par sa mère aussi bourrée que lui.

Mon père, fils unique non désiré, élevé par des parents trop riches pour s'en occuper réellement, a été placé tout jeune en institution catholique, élevé par d'autres que ses parents il n'a pas appris la façon de devenir père de famille, son père (Mon Grand-Père donc) est mort en 1949 à 57 ans, avant ma naissance, sa mère (Ma Grand-Mère) est morte en 1957 à 56 ans, d'une cirrhose du foie consécutive à l'alcoolisme, ce qui a d'ailleurs dilapidé la totalité de la fortune familiale qui était pourtant conséquente.

Les conditions de vie de la guerre n'ont pas non plus arrangé les choses, fils unique mon père n'a pas connu autre chose que les copains d'internat, les vacances familiales en Bretagne où tout le monde picolait plus que de raison.

Ses responsabilités de père de famille s’arrêtaient à la procréation et l’apport de sa solde de militaire, dont il puisait une large part pour la picole et pour arroser les copains du "mess" où il y passait d'ailleurs beaucoup de temps.

Il faut dire que dans cette caserne militaire il y avait un pourcentage non négligeable de poivrots, j'ai souvenir de superbes échantillons qui ont à jamais gravé ma mémoire de môme, un ramassis d'alcooliques abrutis comme on en trouve rarement aujourd'hui.

Ma mère, qui a subit d'énormes privations pendant la guerre, qui allait travailler 14 heures par jour six jours sur sept aux "Lampes" à Ivry-sur-Seine (Tréfilage de tungstène pour la Wehrmacht) qui fonctionnait pour l'Allemagne sous surveillance de soldats allemands, qui s'est occupée de ses neveux et nièces pour lesquels elles devait se démerder pour leur trouver à bouffer alors que les restrictions étaient à leur maximum, ne supportait pas que son mari puisse dilapider plus de la moitié de sa solde en beuveries au lieu d'assumer la charge de ses six enfants que nous étions en plus de puiser dans les allocations familiales.

Les scènes de ménage dégénéraient souvent tel que décrites plus avant.

Je connais bien le sujet pour n'avoir pas eut à bouffer tous les jours à cause de ça, et même si cette femme regrette son geste, même si la Justice la condamne lourdement, elle a apporté l'apaisement à ses enfants, ça n'a pas de prix pour une mère de famille.

Quand je lis médiation pénale ça me fait bien marrer, c'est pire que tout, ce n'est que de mettre de l'huile sur le feu et compliquer encore plus la situation, un homme violent c'est un fumier, il doit être écarté de ses proches, par sermonné comme un gamin en faute.

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Quand je lis ces énormités.

Sarkozy défenseur du petit peuple, Sarkozy qui ne sait même pas ce que c'est qu'une crampe d'estomac consécutive à la faim, qui ne sait pas quand commence et fini le mois, qui n'a pas le souci de savoir si son salaire suffira à tout payer, qui méprise le peuple sauf pour les élections et qui ose faire semblant de s'intéresser à ceux qui en bavent c'est vraiment des arguments de faux-cul.

Mais Juppé est pareil, ces gens, nés dans la soie et l'Or, faisant partie d'une aristocratie qui dédaigne et néglige le peuple, ne peuvent pas assumer les misères de ceux qui sont aux antipodes de leur fonctionnement.

Si ces rapaces avides de pouvoir et de luxe passent ce sera la fin de la France.

Il n'y a que le Front National pour sauvegarder ce qui l'est encore, méprisé par ceux qui sont en place ou qui l'ont été il est la cible de dénonciations inexistantes.

Sarkozy, Juppé, Hollande, Valls et consorts critiquent la politique du FN alors que c'est le seul parti qui peut se vanter de n'avoir fait aucune erreur puisqu'il n'a, jusqu'à maintenant, exercé aucune responsabilité.

Cette projection de situations est caractéristique de ceux qui font des conneries en en rejetant la faute sur d'autres.

En l'honneur de quoi doit on craindre le Front National ? Parce qu'il va enfin mettre un frein à toutes ces débauches financières !

Entre autres retours à une France réelle il devient indispensable aussi de faire un gigantesque ménage dans les partis politiques.

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Une grave maladie très répandue.

Qui expliquerait aussi le maintien, depuis près d'un demi-siècle, des éternels jouteurs politiques qui sont, finalement, les mêmes.

L'indifférence permet l'impensable, accepte l'impossible et permet l'ignoble.

L'impensable c'est la continuité d'une politique suicidaire au service de la finance.

L'impossible c'est l'invasion sournoise du pays.

L'ignoble c'est l'exploitation de l'homme par l'homme, l'exploitation d'une situation pour en créer une autre, c'est mettre les populations au pied du mur pour mieux les exploiter et les vassaliser.

Le mélange des situations, la noyade des circonstances dans une fééries de mesures diverses vont imposer ce que beaucoup réprouvent.

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Comme la compassion interrogative.

En effet le mot "polluer" est fort, je dirai même qu'il est à proscrire, ce phénomène invasif ouvre des portes inattendues, il en ferme d'autres.

Par contre la compassion doit être sélective, se fier aux informations médiatiques induites pour laver les cerveaux c'est le raccourci très dangereux.

On peut compatir sur le sort des individus, juste se demander pourquoi ils sont là, qui les a fait venir et pourquoi ça pose tant de problèmes.

Si la compassion passe par l’invasion, par la négation, par le mensonge, par l'impôt, par l'explosion du chômage, je me dis qu'il faut réfléchir avant de compatir.

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Pas d'amalgame.

Petite phrase utilisée par tous ceux qui veulent s'en servir pour se dédouaner.

 14 ans ? Et un petit coup de pousse rédactionnel !

Des "tags" il y en a partout, suivant que ça sert ou dessert une cause on les fustige ou on les adule,

Si on tague le "FN SS" ça reste longtemps.

Si on tague "Hollande démission" c'est effacé dans l'heure, deux poids deux mesures.

En fait les tags sont les journaux des faux-culs, et puis c'est anonyme.

Il est réaliste de penser que ceux qui ne veulent pas de migrant puissent en faire état comme font état de leur acceptation ceux qui les veulent, la démocratie permet d'exprimer son contentement ou son mécontentement, pourquoi fustiger des gens qui n'ont pas les mêmes idées que les autres quand ces dernières ne rentrent pas dans le moule !

C'est très franc comme méthode, "tu fais ce que je te dis et pas ce que tu veux faire".

Maintenant, savoir si un gamin de 14 ans réalise que beaucoup de français ne mangent pas à leur faim ni n'ont un petit confort relève de l'éducation qu'il a reçu ou de celle qu'il n'a pas reçu.

Ces migrants pourraient être accueillis par les pays limitrophes, musulmans de surcroit, mais ces derniers n'en veulent pas, les musulmans nantis ne sont pas disposés à payer pour leurs congénères dans la peine, pour çà il y a l’Europe cliente de ces dit pays.

Les migrants arrivent en masse parce que quelqu'un les fait venir, parce que l'Europe offre le gite et le couvert gratuitement et se laisse imposer une culture aux antipodes de sa culture traditionnellement catholique.

L'Europe n'exploite pas les mines d'or et de pétrole des pays en guerre, ce sont les dirigeants des grandes puissances qui se battent pour avoir les marchés, si Assad s'oppose aux occidentaux c'est parce que ces derniers ont l'assurance des pays, justement limitrophes, d'avoir des matières premières prioritaires si les pays clients de l'Europe les débarrassent des ennemis religieux jurés.

C'est compliqué mais c'est globalement la principale raison.

Bien entendu, dans la tête d'un enfant de 14 ans c'est le rabâchage qu'il doit entendre, si c'est bien lui qui a écrit ces lignes bien entendu.

Oh mais il est bien tard, la suite demain ou après demain.

Bonne soirée à tous.

 

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Publié dans Revues de presse

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